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Titre du blog : Rajeunissement visage
Auteur : rajeunissement_visage
Date de création : 24-04-2013
 
posté le 22-05-2013 à 20:21:58

Cicatriser les plaies de la peau

La cicatrisation est le processus par lequel une lésion guérit, soit par elle-même, soit à l’aide de l'intervention de l'humain. Tous les tissus humains sont  capables de cette régénération.

Les différents types de plaies

Une coupure est décrite comme l'ouverture des parties de l'épiderme voire même du derme par une attaque externe (brûlure, blessure, coupure,...). Ce traumatisme peut être accompagné d’une perte de substance.

Les plaies se différencient par le genre de couche cellulaires traumatisées et les étapes du mécanisme de cicatrisation différeront selon le type de la coupure.

Plaie légère:

Une coupure superficielle est une lésion délimitée à l’épiderme (couche première de la peau).

Plaie profonde:

Une lésion profonde atteint le derme, même les muscles, les os et les organes.

Le mécanisme de cicatrisation

Cicatrisation des couches superficielles

Les cellules abîmées par l’agression se gangrènent, libérant un coefficient de croissance épidermique qui joue l'activité de stimulus auprès des cellules saines de la couche basale de l’épiderme (appelé Stratum germinativum) . Celles-ci, ainsi déclenchées, se divisent et migrent vers la zone dévastée, jusqu’à ce que la lésion soit fermée. C’est la phase de migration.

Ces cellules nouvellement installées en couche sur l'endroit de lésion, se divisent donc pour recomposer les couches premières de l’épiderme. C’est la phase de prolifération. La cicatrisation se réalise généralement entre 24 et 48 heures.

Cicatrisation des couches profondes

Lorsque le derme est atteint, le processus de cicatrisation est encore plus compliqué. La procédure est initiée par un identique stimulus du facteur de croissance épidermique, que lors de la cicatrisation des couches superficielles mais les étapes de la cicatrisation sont plus variées et plus lentes.

La cicatrisation débute par un degré inflammatoire dont l'objectif principal est d’éliminer les tissus morts et les corps nouveaux qui peuvent être existants dans la lésion. Un caillot sanguin se forme : la coagulation sanguine arrête le saignement. Une vasodilatation résulte de la réaction inflammatoire, elle accentue la perméabilité de la lésion,  et couplée avec une arrivée massive de globules blancs,  elle permet une meilleure élimination de ces cellules mortes et autres résidus. De nouveaux vaisseaux sanguins se confectionnent alors par bourgeonnement de vaisseaux existants, il s’agit d’une angiogénèse.

Au niveau de la  plaie, les cellules saines du  tissu conjonctif se dispersent et se déplacent vers le centre de la lésion. C’est la phase de migration.

Les filaments de fibrine prolifèrent dans le caillot sanguin. Des cellules épithéliales (c'est-à-dire constituant la couche supérieure de l’épiderme), recouvrent la surface du caillot, au-dessous de la croûte. Cette dernière est un tissu de granulation. Les cellules fraîchement en place dans la zone de la  lésion se décollent pour reconstituer progressivement toutes les couches du tissu et éviter la perte de substance. C’est la phase de prolifération. 

Lors de la phase de maturation - la plus longue, elle dure de 18 à 24 jours-, la croûte tombe et les autres couches de la peau sont recomposées. Le multiple de fibroblastes (variété de globules blanc) et de vaisseaux sanguins diminue alors progressivement. La couleur de la peau reconstituée se démarque généralement des zones tout autour, car le taux de mélanocytes n’est pas harmonisé.

Suivant l'importance de l’agression principale, la peau peut mettre jusqu’à six mois à redevenir souple et insensible. Au-delà de cette durée, si une gêne existe, c'est que la procédure de cicatrisation n’a pas eu lieu ordinairement.

La cicatrisation de seconde intention

Contrairement à la cicatrisation de première intention, qui est un mouvement complètement naturel dont tous les corps vivants sont aptes, la cicatrisation de seconde intention est celle où la main de l’homme survient pour précipiter, optimiser le méthode. L’intervention classique présente toujours par le nettoyage de la plaie afin d’encourager l'épidémisation. Ce nettoyage peut être suivi, selon les cas, par une suture des bords de la blessures (pose de fils ou d’agrafes pour réunir les bords). Il est considérable de vérifier la métamorphose de la cicatrisation, et notamment l’absence de surinfection.  La plaie peut éventuellement être couverte par un pansement. 

Les complications alliées à la cicatrisation

Le premier risque est celui d’une infection de la coupure lors des premières étapes de la cicatrisation. Mais, il existe aussi deux autres formes de complications de la cicatrisation : 

- l’apparition d’une cicatrice chéloïdienne, qui se manifeste sous l’aspect d’un bourrelet fibreux et peut être évité par la mise en place d’un système de compression. (Vêtements compressifs..). 
- la perte d’élasticité de la peau, qui oblige une rééducation par manipulation locale ou par massage-pétrissage, capitale afin d’empêcher des conséquences néfastes pour les articulations.
 
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